Notre histoire
Les jeunes artistes ne pourraient trouver plus belle vitrine.
Le Printemps de Bourges installe à leur intention dès 1977 des « Scènes Ouvertes », une tradition qui va perdurer mais dont la capacité d’accueil se révèle rapidement insuffisante.
L’idée germe alors d’une sélection sur cassettes menant à des Tremplins du Printemps intégrés à la programmation officielle. Mais la demande ne cesse de grandir, les cassettes d’affluer, par dizaines, puis par centaines, par milliers.
L’équipe du festival décide donc de créer un réseau d’antennes sur tout le pays, en s’appuyant sur des professionnel·les associé·es qui ont commencé dans leur région un travail d’exploration, de repérage local, et déjà établi un début de circuit parallèle, underground.
En 1985, le Printemps lance les Découvertes du Printemps de Bourges. L’association ne compte alors que trois Antennes territoriales ; elles seront huit l’année suivante, puis vingt-deux dès 1988. En 1989 leur maillage couvrira tout le territoire, et au-delà, jusqu’aux pays francophones, Québec, Suisse, Belgique.
En 2012, bye bye les Découvertes,
hello les iNOUïS !
L’opération des Découvertes du Printemps de Bourges Crédit Mutuel change de nom et devient LES iNOUïS du Printemps de Bourges Crédit Mutuel.
À partir de 2000, les sélections s’organiseront également selon quatre esthétiques (rock, chanson, électro, hip hop) pour plus d’homogénéité.
D’emblée, la moisson est prodigieuse. Et rapidement, les Découvertes du Printemps de Bourges vont atteindre une audience et un prestige à ce jour inégalés. Elles deviennent un des attraits majeurs du festival, le lieu où se pressent les professionnel·les en quête des artistes de demain.
Aujourd’hui, Réseau Printemps constitue le seul réseau national organisé pour une véritable action de repérage et d’accompagnement des jeunes artistes.
Sous la tutelle artistique de l’équipe de programmation du festival, le dispositif des iNOUïS explique en partie la forte fréquentation des professionnel·les et journalistes.
Il a acquis la reconnaissance et l’aide de l’ensemble du milieu professionnel (CNV, SACEM, FCM et SPPF), ainsi que du Ministère de la Culture (DGCA) et de la Ville de Bourges.